Souvenez-vous, la semaine dernière
Marie était renvoyé dans son paradis fiscal (Gérard, Big Up) et...
Quoi ?
Rooo... ça va hein !
Je sais ce que vous vous dites !
« Voilà, il part direct dans
le résumé, parce qu'il n'a rien trouvé comme introduction ! »
Et ben c'est mon blog, et je fais ce
que je veux.
Et puis Oui. Voilà. J'ai pas trouvé
d'intro. Et alors ? Et alors ?
De toute façon on aura pas la
suite.
Les gens ont beau défiler, nous
n'aurons pas la suite de Koh Lanta !
Pourtant les gens défilent de partout
!
Le samedi, ils ont défilé !
Le dimanche, ils ont défilé !
« Koh Lanta pour tous »
« Koh Lanta est un droit » « Pensez à nos
enfants »
|
Et pourtant TF1 refuse de reprogrammer
!
Nous n'aurons donc pas la fin de Koh
Lanta avant la fin du monde !
Bon... au moins, nos vaillants
aventuriers auront appris comment survivre à l'apocalypse.
A moins d'une pluie de bombe
nucléaires, mais là ça ne serait vraiment pas de bol.
Et pour rester dans le ton, chez les
petits jaunes c'est l'armageddon !
Rien a voir avec le film. Quoique...
|
La vie sociale agonise, tout comme la
confiance. Pour Javier, le tort en revient à Catherine. Elle
n'aurait pas tenu sa parole.
Ok ok... elle l'assure, Catherine est
une femme de valeur. L'honneur tout ça. C'est une femme qui tient
parole. Croix de bois, croix de fer...
Enfin pas là...
Tout le temps. Oui !
Mais pas là.
A ce moment, je me suis demandé si
elle n'avait pas échangé son texte avec celui de Myriam. Les rouges
ayant l'habitude de squatté le conseil, un script aurait pu trainer
tout ça.
Après, Catherine étant à moitié
espagnol, peut-être n'est-elle qu'à moitié honorable ? Javier
regarde d'ailleurs la machette, se disant vouloir garder la meilleure
part de la « traitre » au camp. En plus, ça ferait des
appâts pour les nouveaux pièges de Philippe.
La proie du moment
|
Bizarrement, le lendemain, tout le
monde à l'air d'être en bonne santé. Peut-être est-ce dû au car
de CRS que la prod a laissé en faction ?
Javier surtout à bonne mine
|
Devant tant d'agressivité larvée, la
prod décide de laisser leur colère s'exprimer et les invites à un
concours de Pinata.
N'ayant pas eu trop le temps de prendre
l'avion pour le Mexique, ils ont utilisé des pots en terre cuite
avec un bracelet en coquillage dedans en guise cadeau. Oui... je
sais... c'est la crise pour tout le monde. Pour faire couleur locale,
les pots sont en haut d'une structure sur pilotis. Au milieu de la
mer.
Les gros rouges et les petits jaunes
s'organisent. Javier veut en découdre, commence à ronger la
matraque avec les dents. Ok. Brice commencera le jeu. C'est
plus sûr. Pour la matraque.
Bernard prend position aussi. Il a
raison. Dans un jeu où il faut utiliser une arme pour taper sur des
trucs, mieux vaut s'éloigner de ses coéquipiers.
Pour s'assurer qu'aucun débordement ne
viendra troubler le jeu, le Charle de Gaulle croise non loin.
Le
jeu commence !!!
Brice explose sa pinata, mais ne trouve
pas son collier. Déçu, il rentre à la nage.
Bernard explose le moral de son équipe
en ratant vaillamment sa cible.
Les filles retiennent toujours Javier.
Hugo s'élance et fait le job.
C'est au tour du belge. Il fracasse la
poterie d'un coup de tête. Ramène son bracelet.
Chez les rouges ont coulent. Pas assez
cependant pour trouver les bracelets au fond de l'eau.
Les jaunes mènent bientôt4 à 0.
C'est sans compter Namadia (qui a
fauché les rushs de l'émission pour étudier les techniques
indiennes de Brice). Il ramène 3 bracelets d'un seul coup.
4
à 3
Que
de suspense !
Revoilà Brice ! Il casse la pinata,
rattrape le collier avec les dents avant de surfer sur la plage avec
style. Les jaunes sont proche de la victoire !! Hugo fait le reste !
Victoire
des jaunes !!!
Pour une fois, Namadia reconnaît la
supériorité de ses adversaires. Bravo. Enfin là, ils ne lui ont
pas trop laissé le choix.
Les rouges restent sur les dents.
L'équipe gagnante plantera les siennes dans un plantureux repas.
Des lasagnes ?
Un cassoulet ?
Non ! Un burger avec des frites.
Et une boisson gazeuse. Noire. Dont on ne prononcera pas la marque.
Mais c'est un soda. Noir. Sur TF1.
Phillipe jubile.
Son fast food fonctionne.
Sa tactique aussi. Après un régime
sec, les graisses vont ralentir ses concurrents.
Arf... il en mange un aussi.
Prétextant des soucis de loyer (et
sûrement une tribu voulant récupérer sa plage « merci de la
laisser aussi propre que vous l'avez trouvé. Merci ! »), la
production prévient que les équipes devront partager leur île.
Stupeur !
Les jaunes demandent à aller sur l'île
des rouges. Tu m'étonne. Vu comment ces derniers se débrouillent,
le garde à manger de la nature doit être encore plein.
Les rouges veulent aller chez les
jaunes. Tu m'étonne. De leur camp, on entendait la discothèque de
Charles.
Denis « la malice »
Brognard coupe court à toute récrimination. Les équipes
devront s'entendre et nommer des ambassadeurs. Et puis faudra virer
quelqu'un aussi. Pourquoi ? Fallait pas l'emmerder.
Et puis, les mecs qui choisiront, on
les laissera sur la plage, en plein soleil, sans ombre, sans chaise.
Pourquoi ? (cf réponse 1).
Chez les petits Jaunes, Vanessa et
Charles iront faire l'inventaire. Les plus maigres. Pas fou, ça fera
moins de nourriture, si les autres décident de les bouffer.
Chez les gros Rouges, Thierry fera la
babysitter de Marelou. Cette dernière a bien compris sa mission.
Très bien compris. D'ailleurs, si on pouvait expliquer encore, pour
être sûr que tout le monde a bien compris qu'elle sait ce qu'elle
doit faire. Compris ?
Vanessa et Charles arrivent sur le camp
adverse et font semblant de ne pas faire attention à l'ambiance.
Anthony bave d'envie. Namadia aiguise sa machette. Bernard est partie
chercher du bois, tandis que Miryam tente de fourrer Charles avec du
riz.
Heureusement... les rouges n'ont
plus de feu.
Marelou et Thierry, eux, profitent, du
jaccuzy. Découvre le supermarché. Dans le ciel un convoi de
ravitaillement. Et pour la première fois, les deux rouges mangent.
Mangent. Et mangent aussi.
Sous le regard de Javier
|
On apprend que Marelou a fait des
études.
(Rigolez pas... pour une fois, c'est la
vérité.)
(Non mais vraiment.)
(Déconnez pas les gens. Elle a
vraiment fait des études. Elle sait lire aussi)
(Non mais arrêtez là)
(Non mais vraiment... c'est vexant à
la fin)
(Les blagues les plus courtes sont les
moins longues hein !!)
Les ambassadeurs Jaune hésitent à
prendre Bernard. Il semble prêt à lâcher son équipe... finalement
non ! Il joue aussi bien le traître qu'une certaine actrice dans
un certain Batman.
Ce sera Anthony ! Parce que... parce
que... parce que voilà !!
Pour les ambassadeurs Rouge, le choix
se porte sur Javier. Les habits du transfuge n'étant pas sec pour
Philippe (mais peut-être plus
tard)
Javier et Anthony arrivent sur la
plage.
Denis « la malice »
Brognard se marre. Une ombrelle à la main et un cocktail dans
l'autre, il regarde les concurrents divaguer au soleil. Ha comme ça
on voulait le gonfler avec un état des lieux hein !!
La négociation vire à la joute
virile. Ça sera au premier qui aura les boules !
Les deux joueurs en ont une belle
paire.
Elle arrive d'ailleurs dans un sac !
Tadadadam !!
Qui va sortir ?
Qui va devoir
quitter l'aventure ?
Vous le saurez après
une page de pub !!
C'est donc Anthony qui sort !
Tant mieux !
Il devenait fou.
Tant d'eau, tant d'eau ! Et pas assez
de temps pour trouver la fuite !!
Dommage, l'épreuve suivante lui été
dédiée. Du métal, de la flotte. Tenir assez longtemps pour que le
client accepte le devis...
En son absence, Philippe remporte
l'épreuve d'immunité.
Avant le conseil, les tractations se
lancent. Les sujets de discorde aussi.
Pour une meilleure compréhension,
nous proposons un doublage simultané :
Rouges
: vous avez tout bouffé !
(« vous avez gagné toutes les
épreuves de confort »)
Rouges
: nous on a gardé 2kg de riz pendant 20 jours
(« On a échangé 2kg de riz
contre des allumettes, parce qu'avant on avait pas de feu pour le
cuire »)
Rouges
: Nous on s'est rationné
(« franchement vous auriez pu
nous nous laisser gagner une épreuve »)
Jaunes
: Il faut virer Namadia, c'est le plus fort
(« Vous ne voyez pas qu'il va
nous bouffer pendant notre sommeil ? »)
Jaunes
: Pas Namadia, ça serait trop dur pour Marelou
(« ça serait dommage de perdre
notre faire-valoir intellectuelle »)
C'est le
soir du conseil.
Un peu un truc comme ça
|
ça se chamaille, se chipirone. Javier
lance ses troupes sur Namadia. Argh... le capitaine rouge est
perché. Retournement de situation. C'est Javier qui sort sur Chaos
Technique.
C'est la sentence du collier
d'immunité.
Coup dur pour les Jaune.
Pas de beaux rêves pour la nuit
Ni de banquet...
Les Rouges ont tous bouffé.
Vendredi la suite !
Peut-être...
Pensez à vos parapluies en acier !
|
To
be adventured...
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