mardi 18 décembre 2012

Koh Lantouille : résumé du septième épisode

Souvenez-vous, la semaine dernière Marie était renvoyé dans son paradis fiscal (Gérard, Big Up) et...

Quoi ?

Rooo... ça va hein !
Je sais ce que vous vous dites !
« Voilà, il part direct dans le résumé, parce qu'il n'a rien trouvé comme introduction ! »

Et ben c'est mon blog, et je fais ce que je veux.
Et puis Oui. Voilà. J'ai pas trouvé d'intro. Et alors ? Et alors ?

De toute façon on aura pas la suite.
Les gens ont beau défiler, nous n'aurons pas la suite de Koh Lanta !

Pourtant les gens défilent de partout !
Le samedi, ils ont défilé !
Le dimanche, ils ont défilé !

« Koh Lanta pour tous » « Koh Lanta est un droit » « Pensez à nos enfants »


Et pourtant TF1 refuse de reprogrammer !

Nous n'aurons donc pas la fin de Koh Lanta avant la fin du monde !
Bon... au moins, nos vaillants aventuriers auront appris comment survivre à l'apocalypse.
A moins d'une pluie de bombe nucléaires, mais là ça ne serait vraiment pas de bol.


Et pour rester dans le ton, chez les petits jaunes c'est l'armageddon !

Rien a voir avec le film. Quoique...


La vie sociale agonise, tout comme la confiance. Pour Javier, le tort en revient à Catherine. Elle n'aurait pas tenu sa parole.
Ok ok... elle l'assure, Catherine est une femme de valeur. L'honneur tout ça. C'est une femme qui tient parole. Croix de bois, croix de fer...
Enfin pas là...
Tout le temps. Oui !
Mais pas là.

A ce moment, je me suis demandé si elle n'avait pas échangé son texte avec celui de Myriam. Les rouges ayant l'habitude de squatté le conseil, un script aurait pu trainer tout ça.

Après, Catherine étant à moitié espagnol, peut-être n'est-elle qu'à moitié honorable ? Javier regarde d'ailleurs la machette, se disant vouloir garder la meilleure part de la « traitre » au camp. En plus, ça ferait des appâts pour les nouveaux pièges de Philippe.


La proie du moment


Bizarrement, le lendemain, tout le monde à l'air d'être en bonne santé. Peut-être est-ce dû au car de CRS que la prod a laissé en faction ?

Javier surtout à bonne mine


Devant tant d'agressivité larvée, la prod décide de laisser leur colère s'exprimer et les invites à un concours de Pinata.
N'ayant pas eu trop le temps de prendre l'avion pour le Mexique, ils ont utilisé des pots en terre cuite avec un bracelet en coquillage dedans en guise cadeau. Oui... je sais... c'est la crise pour tout le monde. Pour faire couleur locale, les pots sont en haut d'une structure sur pilotis. Au milieu de la mer.

Les gros rouges et les petits jaunes s'organisent. Javier veut en découdre, commence à ronger la matraque avec les dents. Ok. Brice commencera le jeu. C'est plus sûr. Pour la matraque.
Bernard prend position aussi. Il a raison. Dans un jeu où il faut utiliser une arme pour taper sur des trucs, mieux vaut s'éloigner de ses coéquipiers.

Pour s'assurer qu'aucun débordement ne viendra troubler le jeu, le Charle de Gaulle croise non loin.


Le jeu commence !!!

Brice explose sa pinata, mais ne trouve pas son collier. Déçu, il rentre à la nage.
Bernard explose le moral de son équipe en ratant vaillamment sa cible.

Les filles retiennent toujours Javier. Hugo s'élance et fait le job.
C'est au tour du belge. Il fracasse la poterie d'un coup de tête. Ramène son bracelet.
Chez les rouges ont coulent. Pas assez cependant pour trouver les bracelets au fond de l'eau.
Les jaunes mènent bientôt4 à 0.

C'est sans compter Namadia (qui a fauché les rushs de l'émission pour étudier les techniques indiennes de Brice). Il ramène 3 bracelets d'un seul coup.

4 à 3
Que de suspense !

Revoilà Brice ! Il casse la pinata, rattrape le collier avec les dents avant de surfer sur la plage avec style. Les jaunes sont proche de la victoire !! Hugo fait le reste !

Victoire des jaunes !!!

Pour une fois, Namadia reconnaît la supériorité de ses adversaires. Bravo. Enfin là, ils ne lui ont pas trop laissé le choix.
Les rouges restent sur les dents. L'équipe gagnante plantera les siennes dans un plantureux repas.
Des lasagnes ?
Un cassoulet ?

Non ! Un burger avec des frites. Et une boisson gazeuse. Noire. Dont on ne prononcera pas la marque. Mais c'est un soda. Noir. Sur TF1.

Phillipe jubile.
Son fast food fonctionne.
Sa tactique aussi. Après un régime sec, les graisses vont ralentir ses concurrents.
Arf... il en mange un aussi.


  


Prétextant des soucis de loyer (et sûrement une tribu voulant récupérer sa plage « merci de la laisser aussi propre que vous l'avez trouvé. Merci ! »), la production prévient que les équipes devront partager leur île.
Stupeur !

Les jaunes demandent à aller sur l'île des rouges. Tu m'étonne. Vu comment ces derniers se débrouillent, le garde à manger de la nature doit être encore plein.
Les rouges veulent aller chez les jaunes. Tu m'étonne. De leur camp, on entendait la discothèque de Charles.

Denis « la malice » Brognard coupe court à toute récrimination. Les équipes devront s'entendre et nommer des ambassadeurs. Et puis faudra virer quelqu'un aussi. Pourquoi ? Fallait pas l'emmerder.
Et puis, les mecs qui choisiront, on les laissera sur la plage, en plein soleil, sans ombre, sans chaise. Pourquoi ? (cf réponse 1).


Chez les petits Jaunes, Vanessa et Charles iront faire l'inventaire. Les plus maigres. Pas fou, ça fera moins de nourriture, si les autres décident de les bouffer.
Chez les gros Rouges, Thierry fera la babysitter de Marelou. Cette dernière a bien compris sa mission. Très bien compris. D'ailleurs, si on pouvait expliquer encore, pour être sûr que tout le monde a bien compris qu'elle sait ce qu'elle doit faire. Compris ?


Vanessa et Charles arrivent sur le camp adverse et font semblant de ne pas faire attention à l'ambiance. Anthony bave d'envie. Namadia aiguise sa machette. Bernard est partie chercher du bois, tandis que Miryam tente de fourrer Charles avec du riz.
Heureusement... les rouges n'ont plus de feu.

Marelou et Thierry, eux, profitent, du jaccuzy. Découvre le supermarché. Dans le ciel un convoi de ravitaillement. Et pour la première fois, les deux rouges mangent. Mangent. Et mangent aussi.

Sous le regard de Javier


On apprend que Marelou a fait des études.
(Rigolez pas... pour une fois, c'est la vérité.)
(Non mais vraiment.)
(Déconnez pas les gens. Elle a vraiment fait des études. Elle sait lire aussi)
(Non mais arrêtez là)
(Non mais vraiment... c'est vexant à la fin)
(Les blagues les plus courtes sont les moins longues hein !!)


Les ambassadeurs Jaune hésitent à prendre Bernard. Il semble prêt à lâcher son équipe... finalement non ! Il joue aussi bien le traître qu'une certaine actrice dans un certain Batman.
Ce sera Anthony ! Parce que... parce que... parce que voilà !!

Pour les ambassadeurs Rouge, le choix se porte sur Javier. Les habits du transfuge n'étant pas sec pour Philippe (mais peut-être plus tard)


Javier et Anthony arrivent sur la plage.
Denis « la malice » Brognard se marre. Une ombrelle à la main et un cocktail dans l'autre, il regarde les concurrents divaguer au soleil. Ha comme ça on voulait le gonfler avec un état des lieux hein !!

La négociation vire à la joute virile. Ça sera au premier qui aura les boules !
Les deux joueurs en ont une belle paire.
Elle arrive d'ailleurs dans un sac !

Tadadadam !!

Qui va sortir ?

Qui va devoir quitter l'aventure ?


Vous le saurez après une page de pub !!





C'est donc Anthony qui sort !
Tant mieux !
Il devenait fou.
Tant d'eau, tant d'eau ! Et pas assez de temps pour trouver la fuite !!


Dommage, l'épreuve suivante lui été dédiée. Du métal, de la flotte. Tenir assez longtemps pour que le client accepte le devis...
En son absence, Philippe remporte l'épreuve d'immunité.




Avant le conseil, les tractations se lancent. Les sujets de discorde aussi.



Pour une meilleure compréhension, nous proposons un doublage simultané :


Rouges : vous avez tout bouffé !
(« vous avez gagné toutes les épreuves de confort »)

Rouges : nous on a gardé 2kg de riz pendant 20 jours
(« On a échangé 2kg de riz contre des allumettes, parce qu'avant on avait pas de feu pour le cuire »)

Rouges : Nous on s'est rationné
(« franchement vous auriez pu nous nous laisser gagner une épreuve »)

Jaunes : Il faut virer Namadia, c'est le plus fort
(« Vous ne voyez pas qu'il va nous bouffer pendant notre sommeil ? »)

Jaunes : Pas Namadia, ça serait trop dur pour Marelou
(« ça serait dommage de perdre notre faire-valoir intellectuelle »)



C'est le soir du conseil.

Un peu un truc comme ça



ça se chamaille, se chipirone. Javier lance ses troupes sur Namadia. Argh... le capitaine rouge est perché. Retournement de situation. C'est Javier qui sort sur Chaos Technique.
C'est la sentence du collier d'immunité.

Coup dur pour les Jaune.
Pas de beaux rêves pour la nuit
Ni de banquet...
Les Rouges ont tous bouffé.


Vendredi la suite !
Peut-être...


Pensez à vos parapluies en acier !



To be adventured...

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