Le week-end ayant été dur :sexe,
drogue, alcool... (Oui, j'ai regardé un reportage sur Jean-Claude
Vandamme) je vais me permettre d'aller acheter mon résumé de
Kolanthouille plutôt que de l'écrire.
Troisième étage :
petites culottes –
trahisons - poignards
Nous y sommes.
Voilà !
Alors l'émission commence sur de
l'auto-persuasion. C'est pas mal l'auto-persuasion. Si si c'est bien.
Les gros rouges veulent gagner. Leur nouveau "chef tacticien"
(aka Thierry) les hypnotisent pour être des champions, les
persuadent donc qu'ils sont jaunes. On va voir si cela fonctionnent.
Ensuite ça part sur les chapeaux de
paille ! On a peine le temps de finir son frugal repas (on soutient
Brice comme on peut) que déjà le jeu commence.
Le frugal repas en question
|
Les petits jaunes et les gros jaunes
arrivent sur la plage. Denis « la malice » Brognard
préfère mettre les choses au clair tout de suite : « Elodie
a été éliminé ». « Non, elle n'a pas été
mangé. » « Faites pas les gens qui comprennent rien,
c'est les même règles depuis le départ ». « Philippe
lâche ce gorille, un gorille ça ne donne pas de lait »
Les équipes prennent place.
Chez les gros rouges jaunes, le charme opère
toujours. Ils se croient les meilleurs.
Première constatation du jeu, les
techniciens de la prod ne savent pas construire une catapulte.
La preuve !!!!
2000 ans d'évolution pour en arriver
là. Comme quoi, il devrait mettre plus d'émission culturelle sur
TF1. De toute façon, le but du jeu est d'envoyer son coéquipier le
moins loin possible, alors que vient faire une catapulte dans le
bazar... allez savoir.
C'est parti. Camille s'élance dans
l'immobilisme. Marelou fonce comme une sculpture grec. Les équipiers
sur la plage tirent la corde de toute la force du statu quo. Oui, je
sais. Il ne se passe rien. J'essaie seulement de mettre un peu d'action. Pas
facile.
(on se posera d'ailleurs la question
de savoir pourquoi le choix de Marelou. C'est quand même la nana la
plus lourde de l'équipe)
Les corps se vident. La corde aussi. De
moins en moins de tireurs y sont accrochés. Les visages se crispent.
Namadia ne veut pas lâcher, il attrape le chanvre avec les
dents. Thierry tente de faire corps avec la Terre, manque de bol,
c'est du sable. Anthony tient bon, il ne comprends pas où est la
fuite mais tient bon.
Chez les petits jaunes, pas une
goutte de sueur. Surtout pas pour Brice. Il ne bouge pas d'un
cil, normal : il est mannequin. Non, mais il est vraiment mannequin.
C'est un mannequin quoi. Franchement... vous ne comprenez pas. On y
reviendra.
Tout à coup, Anthony a un éclair de
génie. Il est rouge. Dans la foulée, il en fait part au autre. Ils
tiltent. Reviennent à ce qu'ils savent faire de mieux : laisser
tomber un coéquipier. Plouf.
Sympa, les « vrais » jaunes
font prendre un bain à Camille. C'est vrai, ils auraient pu pousser
l'humiliation jusqu'à la laisser revenir au sec sur la plage. De
toute façon, Brice plonge à la mer. Non non... ce n'est pas pour
être sympa (ou se laver, pour les mauvaises langues). Il doit
seulement changer de corps.
Brice au rayon X juste avant le
plongeon
|
Donc Brice est un mannequin. Depuis le
temps que je le dis. C'est plus compréhensible comme ça ? Bah quand
même !!!
Pendant que Denis « la malice »
Brognard explique en long et en large que les gros rouges ne pourront
pas parler à leur famille qui leur manque tant. C'est triste
hein ! Même à mami Doudou la pauvre en cancer terminale de la
béquille droite à qui il ne reste plus qu'une heure à vivre.
Halala quel dommage ! Que les rouges ne pourront entendre le doux
son des enfants jouant dans la neige pendant que les papillons volent
au dessus des champs de coquelicots (il y connait vraiment rien en
météo)...
... Pendant ce temps, Philippe a déjà
démonté le téléphone satellite pour pouvoir en faire un plan,
et donc une copie.
Ici son antenne
|
Séquence émotion. Téléphone.
C'est bien fait, personne ne tombe sur
le répondeur et tous le monde acceptent les PCV.
Ha... et puis il y a un traducteur
aussi. Brice est tellement ému qu'il en perd son français. Enfin,
il articule pas. En tout cas, on comprend. « Ti amo »
qu'est ce que ça veut bien dire ? Une danseuse ?
Chez les gros rouges ont garde le
moral. Précieusement, dans un bocal. Faut pas le sortir trop
souvent, ça serait dommage de l'abimer.
Namadia décide de partir en forêt
pour braquer une bijouterie. La prod fait donc appelle à un
exorciste. Ce dernier est catégorique, aucun Philippe n'est dans le
corps du capitaine rouge. On le laisse aller. Sur ce point, cela ne
le changera pas beaucoup, Namadia aime bien se laisser aller sur le
camp.
Tout le reste de l'équipe part
chercher à manger. Sauf Anthony qui a envie de ne rien faire
(classique) et Marelou parce que... enfin voilà quoi (cf. nom)
(traditionnel).
Là, on s'aperçoit que les vieux ne
connaissent pas leur cour d'histoire. Quand les nobles étaient
incapables de protéger le tiers états, ces derniers leur foutaient
sur la gueule.
Celui-là par exemple, il chasse les
avions à mains nues
|
De l'autre côté de l'île, Namadia a
sortit le détecteur de cailloux. Il en trouve. Aucun n'a une joli
cordelette. Arf... La poisse. Heureusement, le caméraman est là
pour l'aider. Chaud. Froid. Murène (non, je déconne).
Après avoir fait 4 fois le tour de
l'atoll a cloche pied, la production à court de rangers pour ses
techniciens, décide de « ne pas lui dire que le collier se
trouve en haut de la montagne où personne n'a encore cherché ».
Le syndicat des caméramans s'insurgent, le contrat de l'équipe de
tournage indique « pas plus de 3 escalades par jour ».
Menace de grève.
Tandis que les caméramans sont amenés
en 4x4 climatisé sur les lieux, avec jus de fruit et panini. Namadia
affronte un ours blanc à mains nue (et ne me dite pas que ce
n'est pas logique, il y en avait bien dans Lost).
Namadia trouve le collier.
Les caméramans sabrent le champagne.
La prod respire.
Pendant ce temps là, chez les jaunes,
on a mis le vote avant les bœufs. Pour bien se préparer à
la prochaine épreuve, ils ont décidé de se foutre sur la gueule.
Red Style.
Camille ne se sent plus désirée (elle
n'a donc pas vu les nombreux clubs en son honneur, complétement
masculin d'ailleurs), Javier tente d'apprendre à Charles à compter
jusqu'à 6, Marie est sympa (noooon... je déconne)...
Enfin, ça sent les tripes chaudes
au résiné.
Le
lendemain. Retour du jeu.
Sous les encouragements de Brice
(n'ayant pas vielle technique indienne, il préfère rester sur le
côté). Les jaunes s'élancent dans l'eau. C'est une course
gauloise !!!!
Une course sur bouclier
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Encore une fois, c'est un duel Camille
versus Marelou.
La rouge a l'avantage. Camille ayant
démêlée les problèmes sociaux de son équipe toute la journée
d'avant, on comprend qu'elle ait du mal à défaire les nœuds des
morceaux de puzzle accrochés dans les arbres.
Pourtant les jaunes rattrapent leur
retard en utilisant leur tête (non, ils ne cassent pas les arbres à
coup de boule. Philippe n'est pas à la manœuvre).
Acte manqué, Camille se noue. Elle
tire la mauvaise corde (sensible). Avec ses compagnons la situation
se tend, les nœuds aussi. Impossible de le défaire.
Victoire
implacable des rouges.
Et ils ont la victoire extrêmement
modeste.
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On les pardonne, ce n'est pas si
souvent que cela leur arrive.
Pour les petits jaunes, c'est le moment
de sortir diplomatie, raison et couteau.
Le gang des 4 (Marie, Brice, Javier
et Hugo)se heurte aux mathématiques. Ils sont en infériorité
numérique (c'est pourtant pas faute de le dire). Ça tombe bien, le
reste de l'équipe voudrait leur faire la leçon. Les soutiens
s'additionnent.
Sont sur la sellette Marie, Charles
(allez savoir pourquoi) et Camille.
Sans surprise, Marie s'en va.
On notera que dans le gang des 4, un
des participants n'a rien compris (soyons gentils). Les votes se
répartissant en 6 pour Marie, 3 pour Charles et 1 pour Camille.
Attention, au moment de bourrer les
urnes pour les prochains votes, il faudra faire attention.
Pas de banquet chez les jaunes.
Marie rentre donc chez elle, malgré un
léger accident de voiture.
Ne vous inquiétez pas, elle s'est
occupé de régler le problème à l'amiable
To be adventured
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